EXPOSITION "LE DONJON DES BATAILLES"
EXHIBITION "THE TOWER OF BATTLES"
Alba de Tormes durante la Guerra de la Independencia
Alba de Tormes during The Peninsular War
Introduction : La guerre d’indépendance dans la province de Salamanca
Introduction: The Peninsular War in the province of Salamanca
Le prix de la guerre pour Alba de Tormes
La Ville d'Alba de Tormes a vécu trois épisodes marquants pendant la Guerre d'indépendance, qui a laissé comme conséquences, outre la terrible souffrance de sa population, la destruction de son château et la perte de deux arches de son pont.
The price of the war for Alba de Tormes
The town of Alba de Tormes lived through three significant events during the Peninsular War, a conflict that caused terrible suffering to its people, and resulted in the destruction of its castle and the loss of two arches of its bridge.
La bataille d'Alba de Tormes
Le 28 novembre 1809, l'Armée de la Gauche, commandée par le Duc del Parque, Vainqueur à Tamames quarante jours plus tôt, subit cette fois une défaite retentissante suite à l'attaque de la cavalerie française du général Kellerman, qui, avançant depuis Peñaranda de Bracamonte, prendrait complèment par surprise les troupes espagnoles qui, divisées et confiantes, étaient stationnées des deux côtés du pont d'Alba de Tormes.
The Battle of Alba de Tormes
Despite having won the Battle of Tamames forty days earlier, the Army of the Left, under the command of the Duke del Parque, suffered a crushing defeat after the fierce attack by General Kellermann’s French cavalry on the 28th of November 1809. Kellermann’s forces moved forward from the town of Peñaranda de Bracamonte and took the careless Spanish troops, stationed separately on either side of the bridge in Alba de Tormes, completely by surprised.
La retraite française après la bataille des Arapiles
Tôt le matin du 23 juillet 1812 les Albéens sont témoins de la retraite franche en masse d'une armée française, commandée par le maréchal Marmont, à travers le pont et les gués du Tormes. Des milliers de soldats troublés s'enfuient sur la route de Peñaranda de Bracamonte après avoir subi une grande défaite la veille, à la bataille des Arapilesaux mains de l'armée alliée britannique, portugaise et espagnole commandée par Lord Wellington.
En esa misma jornada se libraría el combat de Garcihernández, est mené lorsque les cavaliers de la Légion allemande du Roi, unité intégrée dans l'armée alliée, atteignent l'arrière-garde de l'armée française en retraite.
The French retreat after the Battle of Salamanca
In the early morning of the 23rd of July 1812, the population of Alba de Tormes witnessed the mass retreat of a French army, led by Marshal Marmont, over the bridge and across the fords of the river Tormes. Thousands of distressed soldiers were fleeing on the road to Peñaranda de Bracamonte after having suffered a major defeat the day before, in the Battle of Salamanca, at the hands of the Allied army of British, Portuguese and Spanish forces under Lord Wellington’s command.
On that very same day, the Battle of Garcihernández would take place when the horsemen of the King’s German Legion, a unit within the Allied army, reached the rear guard of the retreating French army.
La défense du château d'Alba de Tormes
En novembre 1812, après l'échec de Lord Wellington dans son siège du château de Burgos, les français contre-attaquent pour récupérer la capitale du royaume et la ville stratégique de Salamanque. Le 14 de ce même mois et année, c'était l'armée alliée qui battait en retraite franche à travers le pont d'Alba de Tormes. Des charges explosives ont été placées sur un pilier du pont, qui a perdu deux arches, et dans le château, trois cents soldats espagnols ont été isolés et ont défendu la position et empêche la réparation du pont jusqu'au 24 novembre, obligeant les français à passer la rivière par les gués d'Éjeme et Galisancho.
The defense of the castle in Alba de Tormes
In november 1812, with Lord Wellington having failed at besieging the castle in Burgos, the French counterattacked with the aim of Salamanca. On the 14th of that month, the Allied army was now the one beating a hasty retreat over the bridge in Alba de Tormes. Explosive charges were placed on one of the pillars of the bridge, which lost twoof its arches, and 300 Spanish soldiers were left alone and insolated in the castle. They defended their position and prevented the reconstruction of the bridge until the 24th of November, thus forcing the French to cross the river at the fords in d'Éjeme and Galisancho.
Le Duc del Parque et son second commandant, le général Gabriel Mendizábal, sont reçus par les autorités municipales et le village d'Alba de Tormes tôt le matin du 28 novembre 1809.
Après une campagne réussie où l'Armée de la Gauche avait remporté une brillante victoire sur les français à la bataille de Tamames (18 octobre 1809) et qui eut pour conséquence la libération de la ville de Salamanque, son commandant en chef, le Duc del Parque, avança à la recherche des français, avec lesquels il livra un combat sans grande conséquence à Medina del Campo le 25 novembre 1809. Le lendermain, le Parque reçut les premiers rapports de la débâcle subie par l'Armée du Centre à Ocaña (Toledo), así que decidió retirarse hacia la frontera portuguesa.
Del Parque sabía que un ejército francés iba tras él, pero pensaba que se encontraba por lo menos a dos jornadas de distancia; es por ello que le 28 novembre a décidé de donner un repos à ses troupes épuisées et affamées dans la Ville d'Alba de Tormes. L'erreur de calcul du commandant en chef espagnol eut des conséquences fatales car, alors qu'il était accueilli par les autorités locales, une troupe de cavalerie française expérimentée s'approchait par le chemin de Peñaranda de Bracamonte.
The Duke del Parque and his second-in-command, General Gabriel de Mendizábal, are welcomed by the local authorities and the people of Alba de Tormes in the early morning of the 28th of November 1809.
The Army of the Left had achieved a brilliant victory over the French in the Battle of Tamames (18th of October 1809), which resulted in the liberation of the city of Salamanca. After this successful campaign, the Army’s commander-in-chief, the Duke del Parque, pushed forward after the French, against whom he fought a battle with no significant consequences in Medina del Campo on the 25th of November 1809. On the next day, del Parque received the first reports of the debacle suffered by the Army of the Centre in Ocaña (Toledo), so he chose to withdraw towards the Portuguese border.
Del Parque knew that a French army was after him, but he believed that he was at least two days ahead; therefore, on the 28th of November he decided to give some rest to his weary and hungry troops in the town of Alba de Tormes. The Spanish commander-in- chief’s miscalculation had fatal consequences: while he was being pampered by the local authorities, a large and experienced French troop of cavalry came closing in along the road from Peñaranda de Bracamonte.
Sous-lieutenant et soldat du Royal Corps d'Artillerie et capitaine, fusilier et tambour du régiment d'infanterie de ligne Navarre en face du monastére de l'Anunciación de Nuestra Señora de Alba de Tormes dans la matinée du 28 novembre 1809.
Le Armée espagnole de la Gauche, vainqueur à Tamames et vaincu à Alba de Tormes, était composée d'un mélange de troupes d'extraction trés variée: des unités régulières, dans lesquelles il y avait un grand nombre de soldats bisoins, et des compatriotes réunis en unités nouvellement créées avec des commandants qui ne connaissaient pas leurs hommes, nouvellement recrutés en Galicia, Asturias, León, Zamora et Salamanca. C'était une troupe nombreuse, mais peu expérimentée, et ils manquaient d'une
cavalerie de la qualité de la française, à laquelle ils seraient confrontés dans cette journée.
Second lieutenant and soldier of the Royal Artillery Corps, and captain, fusilier and drummer of the Navarre Line Infantry Regiment in front of the Monastery of the Anunciación de Nuestra Señora, in Alba de Tormes, on the morning of the 28th of November 1809.
The Spanish Army of the Left, victorious in Tamames and defeated in Alba de Tormes, was formed by a very diverse mix of troops: regular units, with a large number of novice soldiers, and newly-created units, which brought together civilians recently recruited in Galicia, Asturias, León, Zamora and Salamanca under officers who did not know their men. It was a numerous troop of soldiers, but with little experience, and it lacked a cavalry on a par with the French one, whom they would have to face on that very same day.
La 1er division de l'armée de la gauche, commandée par le maréchal Javier Losada, avance contre la cavalerie française.
Entre trois et quatre heures de l'après-midi de ce fatidique 28 novembre 1809, les troupes d'infanterie espagnoles positionnées sur les hauteurs dominant Alba à l'est, furent les premières à apercevoir les Dragons, les Hussards et les Chasseurs française, et ils se mirent à charger en colonne contre eux, dans une action téméraire d'infanterie contre cavalerie qui ne pouvait mener qu'un régiment vétéran comme celui de la CouronneDans un premier temps, les Espagnoles réussissent à chasser les cavaliers français, mais la cavalerie s'imposse finalement sur l'infanterie, la 1er division espagnole étant décimée et la 2e avec de nombreuses pertes.
The 1st Division of the Army of the Left, led by Field Marshal Javier Losada, charges against the French cavalry.
Between 3 and 4 p.m. on that fateful 28th of November 1809, Spanish infantry troops posted on the vantage points that loom over Alba de Tormes from the east were the first to make out the incoming French dragoons, hussars and chasseurs à cheval (mounted hunters). They were set on charging against them in column, a daring manoeuvre of infantry against cavalry that could only be led by the veteran Regiment of the Crown. At first, the Spanish successfully managed to push the French horsemen away, but in the end the cavalry won over the infantry, and the Spanish 1st Division was left decimated, while the 2nd suffered numerous casualties.
La Division d'Avant-Garde, commandée par le général Martín de la Carrera, forme une cadre pour défendre la retraite de l'Armée de gauche.
Face aux charges dévastatrices de la cavalerie française, la seule chose à faire est ce que firent les généraux Martín de la Carrera et Gabriel de Mendizábal: ordonner aux fantassins appartenant à la 5e Division d'Avant-Garde et à trois bataillons de la 2ème Division, séparés du gros de l'armée, sans soutien de cavalerie et sans aucune artillerie former un cadre sur un terrain élevé et dos à la rivière Tormes. Les espagnols, dont le bataillon universitaire de Illustres élèves de León, représentés dans cette illustration, ont supporté plusieurs charges des cavaliers français jusqu'à ce que l'obscurité leur permette de s'échapper et de traverser le pont, action que se rappelle comme l'une des plus héroïques de l'armée espagnole pendant la Guerre d'indépendance.
The Vanguard Division, commanded by General Martín de la Carrera, defends the retreat of the Army of the Left in square formation.
Given the devastating charges of the French cavalry, the only option left was precisely what Generals Martín de la Carrera and Gabriel de Mendizábal decided to do: they ordered the infantry in the Vanguard Division and in three battalions of the 2nd Division—separated from the bulk of the army, without cavalry support or any artillery whatsoever—to go into square formation on a higher ground with their backs against the river Tormes. The Spaniards, including the university students’ battalion of the Distinguished Scholars of León (which can be seen on this picture), resisted several charges from the French horsemen until the darkness allowed them to escape and cross the bridge, an action that is remembered as one of the most heroic by the Spanish army during the Peninsular War.
Le génénal Paul Thiébault salue la Mère Prieure des Carmélites juste avant la traditionelle sortie de clôture de l'image de Santa Teresa.
General Paul Thiébault greets the mother prioress of the Carmelites a few moments before Saint Teresa of Ávila’s effigy is brought out of the convent for the traditional procession.
French General Paul Thiébault, military governor of Salamanca, was particularly aware of the importance of keeping good relations with the Spanish civilian population in order to prevent bloodshed among the locals. The seasoned general, like most high-ranking French officers, was not a believer, yet he visited Saint Teresa’s sepulchre and entered the enclosed part of the convent. Furthermore, at the request of the nuns, he personally wrote a decree, dated 16th of October 1811, by which it was forbidden for anyone to enter the Convent of the Carmelite Mothers of Saint Teresa in the town of Alba de Tormes.
Un officier d'infanterie français retrouve sa famille au pont d'Alba de Tormes lors de la retraite du 23 juillet 1812.
Les armées de guerres napoléoniennes traînaient derrière elles des milliers de paysans de toutes conditions: familles de combattants, artisans, commerçants... Il convient de rappeler que chacune des deux armées affrontées dans la bataille des Arapiles comptait environ 50.000 soldats, chiffre qui, sans compter les civils, était plus du même que la population de la ville de Salamanque, peuplée de 15.000 âmes.
L'armée du maréchal Marmont, vaincue à Los Arapiles le 22 juillet 1812, a eu la chance que la garnison espagnole du château d'Alba de Tormes reçoive l'ordre de se retirer vers Salamanque tôt dans la journée. Les Français ont ainsi pu traverser le pont sans rencontrer d'opposition au petit matin du 23 et poursuivre leur retraite sur le chemin de Peñaranda de Bracamonte. Peu après arrivèrent à Alba de Tormes les troupes commandées par le brigadier Julián Sánchez «El Charro», qui, sur ordre du Conseil de Régence d'Espagne et des Indes, brûla le château pour qu'il ne puisse plus être utilisé par les Français s'ils revenaient, ce qui se passerait en novembre 1812.
A French infantry officer is reunited with his family on the bridge in Alba de Tormes during the retreat on the 23rd of July 1812.
The armies of the Napoleonic Wars brought along thousands of civilians of all sorts with them: soldiers’ families, artisans, merchants… It should be noted that the two armies that fought in the Battle of Salamanca had about 50.000 soldiers each. Even without adding the civilians, that figure was over three times the number of inhabitants in the city of Salamanca, where 15.000 people lived at the time.
Marshal Marmont’s army, defeated in Los Arapiles on the 22nd of July 1812, was lucky that the Spanish garrison in the castle at Alba de Tormes had received orders to retreat to Salamanca in the early hours of that same day. This way, the French were able to cross the bridge without any resistance in the early morning of the 23rd and continued to retreat down the road to Peñaranda de Bracamonte. Soon afterwards, the troops led by Brigadier Julián Sánchez (nicknamed El Charro) reached Alba de Tormes. Following orders from the Council of Regency of Spain and the Indies, he set the castle on fire so that it could not be used again by the French if they returned, which would eventually happen in November 1812.
Le roi Joseph Ier Bonaparte reçoit dans l'ermitage de la Virgen de Otero des nouvelles de la retraite vers le Potugal des alliés.
Malgré la défaite subie le 22 juillet 1812, au bout de quelques mois le Français réussirent à se regrouper et à contre-attaquer. Le 14 novembre, le roi Josephimposé sur le trône d'Espagne en 1808 par son frère l' empereur Napoléon, traverse le Tormes par le gué d'Éjeme et entre triomphant le lendemain dans la ville de Salamanque. La capitale charra a vécu l'une des pires journées de son histoire avec l'entrée des troupes françaises assoiffées de vengeance après la défaite subie en été.
Avec la défaite de Napoléon en Russie à l'hiver 1812 et la campagne des alliés britanniques, portugais et espagnols de 1813, Alba de Tormes est définitivement libérée des troupes d'invasion françaises le 26 mai de cette même anée.
King Joseph Bonaparte receives the news about the allies’ retreat towards Portugal at the Chapel of the Virgen de Otero.
Despite their defeat on the 22nd of July 1812, the French managed to regroup and counterattack after a few months. On the 14th of November, King Joseph, who was placed on the Spanish throne by his brother, Emperor Napoleon, crossed the river Tormes at the fords in Éjeme and entered triumphantly into the city of Salamanca the following day. The Salamanca capital suffered one of the worst days in its history when the French troops marched in thirsting for revenge after their defeat in the summer.
With Napoleon’s defeat in Russia in the winter of 1812 and the campaign of the British, Portuguese and Spanish allies in 1813, Alba de Tormes was definitively freed from the French invading troops on the 26th of May of that same year.
SOLDATS DE L'EXPOSITION
EXHIBITION SOLDIERS
Gabriel de Mendizábal e Iraeta, Conde de Cuadro de Alba de Tormes
El General Gabriel de Mendizábal (1765-1823), de origen vasco, demostró su valía como oficial de infantería desde el comienzo de la guerra. Cubrió la retirada española después de su derrota en Medina de Rioseco, se reunió y despertó a los soldados españoles con energía y determinación durante la Batalla de Tamames, y ordenó a sus tropas a formar en la plaza para defenderse de las cargas de la caballería francesa en la Batalla de Alba de Tormes, una acción por la que se le concedió el título de Conde de Cuadro de Alba de Tormes en 1835.
Como comandante del Ejército de la Izquierda, sufrió una severa derrota en la Batalla de Gebora, en 1811, mientras intentaba obstaculizar las operaciones de asedio francesas en Badajoz. Mendizábal fue destituido de su cargo, pero para recuperarlo pidió a las Cortes de Cádiz servir como soldado de base, y luchó como tal en la Batalla de Albuera. Terminó recuperando su rango y fue nombrado comandante del recién creado 7º Ejército, con el que llevaría a cabo importantes campañas en el norte de España, junto con sus famosos subordinados y guerrilleros Espoz y Mina, Longa, Porlier y Jáuregui.
Mendizábal recibió la Cruz Laureada de San Fernando en 1815 y la Cruz de San Hermenegildo en 1819 por sus servicios. En este retrato del artista salmantino José Luis García Morán se le puede ver luciendo ambas decoraciones.
Gabriel de Mendizábal e Iraeta, Count of Cuadro de Alba de Tormes
General Gabriel de Mendizábal (1765-1823), of Basque descent, proved his worth as an infantry officer right from the outset of the war. He covered the Spanish retreat after their defeat in Medina de Rioseco, he rallied and roused the Spanish soldiers with energy and determination during the Battle of Tamames, and he ordered his troops to form in square to defend themselves from the French cavalry charges in the Battle of Alba de Tormes, an action for which he was granted the title of Count of Cuadro de Alba de Tormes in 1835.
As a commander in the Army of the Left, he suffered a severe defeat in the Battle of the Gebora, in 1811, while he was trying to hamper the French siege operations in Badajoz. Mendizábal was dismissed from his position, but in order to retrieve it he asked the Cortes de Cádiz to serve as a rank-and-file soldier, and he fought as such in the Battle of Albuera. He ended up having his rank restored and was also appointed as commander of the newly-created 7th Army, with which he would carry out significant campaigns in the north of Spain, together with his famous subordinates and guerrilleros Espoz y Mina, Longa, Porlier and Jáuregui.
Mendizábal was awarded the Laureate Cross of Saint Ferdinand in 1815 and the Cross of Saint Hermenegild in 1819 for his services. He can be seen wearing both decorations in this portrait by Salamanca artist José Luis García Morán.
Fusilier du régiment d'infanterie de la Mort (Espagne)
Cette unitée, créée en Galicia le février 1809 et intégrée dans la Division d'Avant-Garde de l'Armée de la Gauche, elle est l'une de celles qu'elle forme en cadre à la bataille d'Alba de Tormes pour repousser les charges de la cavalerie fraçaise et défendre la retraite du reste de l'armée espagonle.
Fusilier of the Infantry Regiment of Death (Spain)
This unit, created in Galicia in February 1809 and incorporated to the Vanguard Division of the Army of the Left, was one of the troops that went into square formation in the Battle of Alba de Tormes to resist the French cavalry charges and defend the retreat of the rest of the Spanish army.
Soldat du 2e régiment d'infanterie de ligne (Portugal)
Manuel Gonçalves, fusilier de ce régiment portugais, s'est endormi lorsque les alliés se son retirés à Alba de Tormes le 14 novembre 1812, les trois cents espagnols qui restèrent pour défendre le château, commandés par le lieutenant-colonel José de Miranda y Cabezón,.
Soldier of the 2nd Line Infantry Regiment (Portugal)
Manuel Gonçalves, fusilier in this Portuguese regiment, fell asleep when the allies withdrew from Alba de Tormes on the 14th of November 1812, so he had no choice but to join the 300 Spaniards who stayed to defend the castle under Lieutenant Colonel José de Miranda y Cabezón.
Soldat du 92e régiment des Highlanders (Royaume-Uni)
Des soldats écossais de ce régiment reçurent l'ordre de placer des charges explosives sur un pilier du pont d'Alba de Tormes le 14 novembre 1812.
Soldier of the 92nd Regiment of Highlanders (United Kingdom)
The Scottish soldiers of this regiment were given orders to place explosive charges on a pillar of the bridge in Alba de Tormes on the 14th of November 1812.
Soldats du 25e régiment de Dragons (France)
Les six régiments qui formaient la division des Dragons du général Kellerman, avec Hussards et Chasseurs, écrasèrent avec leurs chevaux et apprivoisirent environ trois mille fantassins espagnols lors de la bataille d' Alba de Tormes le 28 novembre 1809.
Soldier of the 25th Dragoon Regiment (France)
The six regiments that made up General Kellermann’s Dragoon Division, together with hussars and chasseurs à cheval, rode over and sliced their way through roughly 3000 Spanish infantry soldiers during the Battle of Alba de Tormes, which was fought on the 28th of November 1809.
DIORAMAS DE L'EXPOSITION
EXHIBITION DIORAMAS
PREMIER DIORAMA
Retrait de l'armée française du Portugal, sous le commandement du maréchal Auguste Marmont, tôt le matin du 23 juillet 1812 et après avoir subi une grande défaite à la bataille des Arapiles le jour précédent.
FIRST DIORAMA
The French army, under Marshal Auguste Marmont, withdraws from Portugal in the early morning hours of the 23rd of July 1812, after having suffered a major defeat in the Battle of Los Arapiles the day before.
DEUXIÈME DIORAMA
Combat entre troupes britanniques-portugaises et françaises mené dans les rue proches du château d' Alba de Tormes en novembre 1812. Contrairement à ce qui s'est passé en juillet de la même année, les alliés britanniques, portugais et espagnols sont maintenant la souris et les français le chat. Le château délabré, qui avait été incendié en 1812, a dû être fortifié par des revellins improvisés et palifiés et dans lequel sont restés trois cents espagnols, commandés par le lieutenant-colonel José de Miranda y Cabezón,, se mirent donc à s'unir, qui l'ont défendu avec courage pour faciliter le retrait de l'armée alliée vers Ciudad Rodrigo.
SECOND DIORAMA
A fight between Anglo-Portuguese and French troops on the streets neighbouring the castle in Alba de Tormes in November 1812. Conversely to what had happened in July that year, now the British, Portuguese and Spanish allies are the mouse, and the French are the cat. The run-down castle, which had been set on fire on the 23rd of July 1812, had to be fortified with improvised ravelins and stockades. Led by Lieutenant Colonel José de Miranda y Cabezón, 300 Spaniards stayed inside the castle and bravely defended it to facilitate the retreat of the Allied army towards Ciudad Rodrigo.